Nom ; Vous le saurez sur votre lit de mort, agonisant transperçé de ma lame céléste...
Prénom ; Zeron
Âge ; 21ans
Sexe ; Mâle
Race ; Humain
Lieu de naissance ; Un petit village non loin de la frontière elfique
État civil ; Célibataire
Poste ; Main du Seigneur Murthag, Capitaine de la 501eme Garnison
Composition de la 501eme garnison :
250 épéistes
150 Archers
50 Arbalétriers
50 Piquiers
==> Total : 500 hommes
Poste Vacant? ;Non
* Je suis unique ;Caractère ;
[5 lignes minimum] Zeron est un homme dur, malgré sa jeunesse, il détient une grande expérience militaire du a ses nombreuses bataille. Il fera tout pour ses hommes, étant attaché a eux mais, n'hésitera pas a en sacrifier le tier s'il peut en sauver les 2 tiers. Il voue une loyauté sans fialle et immense a son Seigneur, celui qu'il surnomme le Seigneur Noir, Murthag... Il reste tout de même un homme et, même s'il sert et agit comme un monstre, son coeur jeune ce demande de plus en plus si un jour, l'amour frappera a sap orte, l'englobbant d'un linceul chalereux pour le faire quitter toute cette souffrance.
Zeron et la 501eme garnison ne sont pas des soldats qu'on envoi au front ne première ligne, ils obéissent avant-tout a Murthag et, leur domaine qui les a rendus célébre est composé de deux partis : Infiltration, Assassinat.
Physique ;
[5 lignes minimum] Zeron est un homme qui a les traits fins. Il a un physique de guerrier, derrière sa cuirrasse il est doté d'un corps musclé et bien déssiné, obligatorie pour tout bon soldat. Il porte deux vêtements distinct, une armure d'un noir implaccable et un haume surmonté d'une tête de dragon ou alors, des vieux vêtements de rodeur pour les infiltrations.
Habitudes et préférences ; Déchiqueter le bras d'un adversaire d'un moulinet du pognet droit puis, le décapiter et surmonté sa tête sur le pique d'un de ses soldats.
Camp : Mal
Signes particuliers ; Ne répond de ses actes qu'a Murthag, pas a Galbatorix...
* Histoire ;Biographie ;
[7 lignes minimum]Zeron naquit dans un petit village bordant la frontière elfique. Son père, n'était autre qu'un milicien de la ville, il avait osus son commandement 5 hommes, tous de fiers guerriers en effet, ils faisaient partient d'une caste de guerriers obscur mais nécessaire a la sécurité du village, de sombre et démoniaque assassin.
Sa mère, c'était tout autre chose, catin des rue, dénudé dans une auberge pour 1 sous, essayant de subvenir aux besoin de son fils en utilisant le seul don que la nature lui a fait, son corps... Pendant les 5 premières années que Zeron passa auprès de sa mère, il ne manqua jamais de rien. S'épuisant a la tâche, sa mère lui inculqua tout ce qu'elle croyait juste, l'honneur et ce qui fait d'un homme, un homme...
A peine agée de 5 ans, un jour, Zeron vit débarquer dans la petite auberge un petit groupe d'hommes. Leur longue bure noir et leur visage masqué ne signifait rien de bon mais, Zeron était émerveillé devant la grâce de ses hommes. Leur souplesse et leur légéretes... L'homme n'était autre que son pères, il s'approcha de son fils et, d'une voix grave et dure demanda comment un être aussi minable et pathétique pouvait partager son sang. La mère de Zeron, bondit sur son père et, lui décocha une gifle magistrale sous les yeux ébahis de son jeune fils, ne comprenant pas le moindre mot de cette scène. La réponse de l'homme fut immédiate et directe, un petit couteau noir s'aventura dans les entrailles de la jeune femme, lui laissant pousser un petit hoquet de douleur puis, ce fut finit, rien...
L'homme cracha un long et gluant molard sur le corps inerte de l jeune femme, jonchant le pavé froid et sec rappelant de son coeur...
Il continua sur sa lançé puis, d'un trait fit tournoyer sa lame entre ses doigts puis entailla la joue gauche de son fils, lui avouant d'une voix sinistre, sonnant le glas :
Forge toi une vie, un avenir, deviens puissant et peut-être qu'un jour, je daignerais te remarquer dans la rue et, te considérer comme mon sucesseur.L'homme sortit, accompagné de ses hommes puis, ferma la porte, silencieuse comme le fut sa voix, perdu au fin fond d'une tristesse jusque là, infondé et inconnu...
Le Jeune homme, ce pencha alors sur le corps de sa mère, le regard livide, les lèvres entreouverte. Un petit couteau de cuisine était maintenu dans un pli de sa longue robe. Zeron s'en empara, regarda le corps flasque sans vie de sa mère, cet homme, il le tuerait! Alors qu'il ce relevait, un paysan assis non-loin de là hurlait a qui voulez entendre que le mailleur pute de l'auberge était crevé comme une chienne.
Le paysan eut vite reçut un poing en pleine figure, un autre n'était pas d'accord avec lui. Alors que le paysan ce relevait, quelque peu sonnait, Zeron aggripa le couteau dans sa main droite, sa mère, une chienne ? Laissant libre cours a sa colère, le jeune garçon s'approcha de l'homme chancelant puis, lui entailla la jambe. Le sang chaud asperga les vêtements du garçon. Un cri strident s'échappa de l'home mais, Zeron n'avait pas fini. Sa haine déferlait en lui comme un torrent. D'un moulinet de la main droite, il fit tourner son couteau comme le faisait son père puis, trancha le bras gauche de l'homme. N'écoutant que son envie de meurtre, il réduisit les plaintes de l'homme au silence, lui coupant la t^te d'un geste minutieux.
Le Jeune homme ce mit alors a courir a toute vitesse a travers la ville, tenant le couteau a pleine mains. Il ne trouva un peu de répit que dans une clairière avoisinante, la, il y trouva un petit groupe d'homme et un feu. Il s'aggissait de son père. il lui expliqua, pleurant a chaude larmes ce qu'il avait fait. Une flamme d'éspoir apparut dans ses yeux. Pendant 11 longues années, il entraina son fils, lui apprenant chaque jours ce qu'il savait, ce qui faisait d'eux de fiers guerriers. Jusqu'au jour ou, Zeron partit, sans ce justifier, sans un au revoir. Il attrapa les reines de son cheval, qu'il possédait dpeuis 6 mois, puis partit, ses vêtements de rodeur sur le dos et, armé de son épée et de deux petits couteaux.
Il mena sa monture au galop pendant plusieurs heure juqu'a qu'il arrive dans une petite grotte, a la recherche de gibier pour ce nourri, il s'aventura dans celle-ci mais, ce ne fut pas un animal qu'il trouva mais, un cadavre humain. Enfin un cadavre, plutôt un squelette. Il s'approcha de celui-ci puis, remarqua un objet brillant a côté du squelette. Il s'approcha puis, au fur qu'il approchait son visage remarqua un pommeau, il put bientôt apercevoir une épée. La lame était d'un noir sombre surplombé de diverses pierres d'un rouge éclatant. Le pommeau quant a lui, était d'un noir éternel...
Il s'empara de l'épée, ne cherchant pas a comprendre ce qui lui arrivait puis repartit en qpuete de puissance. Ne sachant pas qu'il détenait maintenant une épée de dragonnier...
Il trouva sur sa route une compagnie de soldat de l'Empire. Il fut recruté de force, bien qu'il ne veulle pas participer aux batailles, il s'y accoutuma facilement et, alors que sa compagnie ( il n'est que soldat ) ce rendait auprès de Galbatorix, il rencontra en chemin un dragon. Il vit alorsp our la première fois, celui qu'il baptisa le Seigneur Noir, Murthag... N'écoutant que son courgae et peut-être, sa folie, il appela le dragonnier puis, dans un souprir fracassant lui jura fidélité, lui disant que sa main servirait toujours cette homme, que son épée serait a son service. Murthag rit beaucoup de ce jeune homme, maintenant agé de 21ans uqi ce prosternait devant lui. Il le pointa du doigt puis, lui annonça fièrement une chose :
Affronte 5 hommes, tue les et, je trouverais peut-être une utilité a ta bravoure. Allons petit soldat, éblouis moi de ton talent !Le rire noir ne démonta pas Zeron, il ne savait pas pourquoi il faisait cela mais, il le faisait.
5 hommes s'approchait e lui, deux armés de haches et, 3 armés d'épée. Il tira alors son épée de son fourreau, laissant échapper a Murthag un hoquet de stupéfaction, la lame d'un noir sombre et repoussant. Il ce mit en position défensive puis, les deux mains placé sur le manche de son épée attendit. 2 haches fendirent l'air telle l'éclair, prête a s'abattre sur Zeron. Le Jeune homme fit une roulade sur le côté puis, relacha son pommeau de sa main drotie, s'empara d'un petit couteau posé sur sa poitrine et, le planta dans la mollet de l'un des hommes. L'homme hurla mais, ce fut bref, la lame vint le décapiter, mettant fin a sa douleur.
Sans avoir le temps de poursuivre son offensive, Zeron para sans difficulté une épée, prête a le frapper au niveau de ventre. Deux lames filaiet vers sa tête, ce sentant en danger, le jeune homme décocha un coup de pied dans le ventre de l'épéiste puis, lui trancha le bras d'un mouvement du poignet sec. Il ce retourna alors in extremis vers ses deux adversaires puis, positionna sa lame d façon a paré les deux épée, attaquant chacune sur la même ligne. Le jeune homme positionna sa lame a la vertical puis, para les coups. La force des deux soldats le surprit, n'étant pas sur de pouvoir maintenir longtemps la force des deux hommes plaqué sur sa lame, il lacha son épée puis, attrapa deux dagues plaçcés de chaque côté de ses hanches. Les hommes ne purent réagir, une dague s'enfonça dans leur gorge, les tuants sur plaçe, sans souffrance ni douleur...
Il s'empressa de reprendre son épée en main puis, ce tnt prêt a recevoir le dernier asseillant. Il tourna les yeux puis, le vis par terre, la hache sur le côté, implorant la pitié.
Zeron ce tourna vers Murthag, lui demanda conseil. Le Parjure, acquieca d'un signe de la t^te, l'homme n'était pas digne de l'Empire.
Zeron fila a toute vitesse vers l'homme puis, trancha son corps en deux, réduisant la vie de ce misérable au silence...
Murthag, s'approcha de Zeron puis, parla avec lui pendant plusieurs heures. Il l'accepta a ses côtés et, le nomma capitaine de la 501eme compagnie, il avait fait ses preuves lors des récentes missions et ce combat avait plus qu'impréssionner le Parjure.
Et maintenant, il ce retrouvait sur le front, la batailles des Plaines brulantes faisait rage, il devrait tuer le plus d'homme possible, pour osutenir son seigneur, celui que l'on apelle Murthag...
Famille ; Aucune
Liens ; Aucun
Objets en sa possession ;
Arme(s) : Sa fidéle épée Deirja qui n'est autre qu'une épée de Dragonnier. Deirja signifiee Mourir en ancien language. Divers poignards et lame de petites tailles.
Autre ; Son cheval, baptisé Kveyvka ( Eclair en ancien language ), ses deux vêtement différents, Haume et armure ou tenus de rodeur. Des lames diverses de petite taille utile pour les assassinat et un bouclier de bois.
* Derrière le miroir ;Votre prénom [facultatif] et votre pseudo ; Jérémy. Pseudo, ça varie, Revan ( Star Wars ) Zeron ou bien d'autres ^^
Âge : 15ans
Code ; RPG Eragon
Autre chose ? Non ^^ si ce n'est que le design est très beau
Disponibilités ; Tous lesj ours, dès 17h30 ^^
D'où connaissez Vous le forum? Google est ton ami ^^